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#INAUGURATION EDITO / Hommage à Laurent Massénat - spéciale dédicace à Décidé Marcel / EDITORIAL : A Tribute to Laurent Massenat - special dedication to his work "Decide Marcel"

Éditorial de septembre en 2012 / The notebook’s editorial in September 2012

[ Le 20 octobre 2012, Laurent Massénat a quitté le monde. Trois semaines avant, nous parlions avec lui et lisant à haute voix cet hommage, afin d’éprouver qu’il ne s’y sentît pas trahi. ]

mardi 11 septembre 2012, par Laurent Massénat, Aliette G. Certhoux

Abstract :

I am introducing you to Laurent Massénat, to pay tribute to him and all those who have accompanied and continued his work in subtle graphic designs, all the more discreet net-artist, as he defines himself, without referring to his other fields of artistic and intellectual expression, according to his recent public works, i.e. the digital reality he gave to his testament of communication for the work entrusted by Pascal Galy, multi-talented artist who passed away in 1993.

Thus a site that Laurent Massénat began creating at the end of 2008 and especially developed during the year 2009 ; the following years he continued the path of his research and if this work could soon be finished and made accessible, we would continue to believe that hazard when discovered leaves submerged traces, fragments or connections non localized, that others discovering the site would reveal.

This is one of the sites on my "night table" : Décidé Marcel — follow the link.

Présentation (essai) :

Je vous présente, pour lui rendre un hommage ainsi qu’à tous ceux qui ont accompagné et poursuivent d’accompagner son travail ou dont il accompagne le leur, Laurent Massénat, graphiste subtil et d’autant plus discret, net-artiste (comme il se définit lui-même, négligeant ses publications, essais ou poèmes, dans des revues imprimées ou dans des brochures d’’art, frontispices dédiés à des artistes, ou ses protocoles de Land Art dans des paysages naturels), en l’état de sa création la plus récente, si ce n’étaient les aphorismes et les documents semés dans ses pages sur Facebook. Ici il s’agit d’une œuvre magistrale, ce qui est rare chez lui, artiste du fragment — mais de la trace comme succession de signes hétérogènes, ce qui installe sa cohérence générale en protocole ambigu (énigmatique) de ses propres empreintes, topos (contradictoirement de son sens) nomade. Ce qui nous convoque ici est la réalité numérique d’une stratégie orchestrale, de la trace, réalisée de sa mission testamentaire de communication de l’œuvre confiée de Pascal Galy, artiste multiple disparu en 1993.

Donc un site, que Laurent Massénat a commencé à la fin de 2008 et a particulièrement développé durant l’année 2009 ; les années suivantes il a poursuivi le cours des recherches, et si cet ouvrage pouvait paraître bientôt achevé, on se plairait toujours à penser que le hasard ouvert laissât des traces encore immergées, fragments ou correspondance non localisés, que d’aucuns de leurs détenteurs découvrant le site pourraient révéler.

Voici un de mes trois sites de chevet : Décidé Marcel — suivre le lien.

Ce don, génial, est fait tout à la fois de la simplicité de ses matériaux ordinaires, qui se présentent finalement comme des médias de toutes sortes, recourant à tous nos sens, de l’aspect visionnaire de l’expression de la technologie numérique chez Galy (dans la vision qu’en donne Massénat), de la réalité de son réseau répété deux fois (une fois du vivant de Galy à son appel, une fois posthume à l’appel de Laurent), et des rituels préalables tels qu’ils sont manifestés — plutôt que présentés, — par l’installation actuelle au-delà de l’inspiration de la méta-écriture de Décidé Marcel par Pascal Galy.
En effet, Galy avait eu cette formidable intuition de convier ses propres amis et relations pour faire donner lieu (lieu multiple en personnes) à ses productions ; mais sauf le réseau participatif pour les communiquer, il avait tout autrement signifié la cohérence de la diversité des matières et des formats poétiques de sa composition générale. En l’état de ses sources mêmes, le grand œuvre était radicalement abstrait de la figuration de son rhizome, que le site traite en ellipse sous la continuité de notre visite (le lien étant ainsi plastiquement réalisé).

C’est donc aussi l’intelligence de la double situation de l’appartenance figurative et abstraite, paradoxe de l’œuvre globale de Galy, rendue par le travail émergent et non moins paradoxal de Laurent Massénat (et que seul un éminent amateur de musique — écriture et structure — pouvait produire physiquement, perceptiblement, à nos yeux et sous notre main), que nous saluons ici.

Accroche tout à fait singulière d’un art conceptuel de l’installation du site au grand dam des figurations qu’il contient, comme de l’abstraction numérique de son écriture par laquelle il est publié.

*

Dans un concept de l"événement critique des médias que d’aucuns pourraient ressentir proche de Deleuze, ce que Laurent Massénat invente d’abord, pour nous rendre perceptible la cohérence entre les microcosmes hétérogènes de Galy, c’est le rythme visuel et temporel de leur coexistence en apparitions, en disparitions, et en certaines répétitions — dont celles de nos gestes — au fur et à mesure des pages numériques alternées par leur navigation.

On peut considérer que la synthèse compréhensive en libre visite que nous propose Laurent Massénat met les protocoles fragmentés de Galy et son réseau humain en réalité augmentée.

La structure aux chemins divers, où la complexité de l’arborescence s’édifie en temps réel des apports externes, loin des performances d’ingénieur, prend le web tel qu’il transpose simplement notre vie, dans la lenteur de l’élaboration interactive du site, tout en réalisant le réseau des participants alors que matériellement celui-ci n’existe pas — sinon à travers des allers et retours et des parcours, appelés par la stratégie de Galy et l’imaginaire de ceux qui jouaient le jeu. Tout procède d’une stratégie en commun du réseau composite (objets et partenaires), dont seule la construction d’un navire numérique pouvait révéler les matériaux conceptuellement en eux-mêmes, dans leur « nodalité » stratégique mutante, entre les choses et les êtres, à travers l’indifférenciation de leur traitement numérique, en flux de navigation par lesquels il allait les faire apparaître, mais dont le sens résultant, symbolique, ne pourrait en aucun cas, paradoxalement, être attribué, (n’en déplaise aux idéologues du code des scripts et du flux), à la réalité technique de l’alignement de l’équivalence numérique des données et des participants tracés, qui pourtant permet de l’accomplir. Comme la langue qui sert à communiquer peut parfois être requise au-delà d’elle-même, par la poésie.

Le brelan d’as de Laurent Massénat : Mallarmé, Deleuze, Bach.

Mais le réseau de Décidé actualisé par Laurent n’est pas clos, il est génératif à la façon d’une langue trans-genre des disciplines et du support de la communication. La découverte cognitive de ce protocole artistique, à la fois abstrait et vivant, au destin aléatoire dans le grand web, constituent l’installation dynamique du passé au rythme des présences du compositeur et de ses partenaires, animés par les découvreurs navigant présents et futurs.

Laurent Massénat n’adapte pas les objets bruts qu’il présente en l’état de leur livraison ; il ne les traite que par la fluidité du libre voyage à travers l’arborescence non directionnelle par laquelle il construit leurs liens virtuels, en les faisant réaliser par notre propre chemin. Nos traces forment le réseau réel, non pas celui des visiteurs — ce qui est banal sur le web et dans la proposition des outils mis à disposition, — mais celui de l’œuvre (celle de Galy et du site Décidé Marcel), au hasard de nos désirs et de nos perceptions actifs.

L’ensemble de l’œuvre et de sa communication, comme renouvellement d’elle-même par celle des autres (et non la méta-œuvre de Galy lui-même, car il n’a pas eu le temps d’aller au-delà de la finition de chaque micro-œuvre de l’ensemble), était technologiquement impossible du vivant de l’auteur. Donc celui-ci ne l’a pas conçue telle, sinon les matériaux qui permettront aléatoirement de la composer autrement qu’en l’exposant dans une galerie (seul état de la présentation d’un grand œuvre que Galy en son temps aurait pu concrètement concevoir).

Loin des processus spéculatifs des galeries (du moins à ce jour), le site élabore une seconde naissance du poète disparu, lui donnant corps d’œuvre participative selon Galy, quand il instruisait lui-même l’information des ses objets en conviant ses amis ou des vidéastes pour les présenter ou les enregistrer. À travers sa communication posthume par la micro-société de ses amis et partenaires, créateurs et collectionneurs, le parcours de création multiple en lui-même de Galy restitué et décuplé par Massénat créée une vitalité, une initiation originale de la vie, un trésor ambigu.

Encore et toujours danser avec/dans le World Wide Web.

* *

Naviguer dans ce site c’est entreprendre d’aller au gré des vents dans un archipel rythmé par la lumière du temps, parmi les écueils et les plages qui nous préexistent, et les méditations ou les contemplations qui en résultent. Cela prend du temps — vous avez le temps...

Donc un de mes trois sites de chevet : Décidé Marcel — toujours suivre le lien.

Tous les textes qui suivent sont de — et extraits de l’installation numérique de — Laurent Massénat, dédiés à l’artiste poète et interprète Pascal Galy, signé Décidé Marcel, dont il interprète la composition un peu comme un chef d’orchestre doit interpréter la musique sommairement écrite au commencement de la Renaissance, pour pouvoir la produire avec un orchestre aux oreilles d’une assemblée. La dédicace même et le soin qui est apporté, intelligents, sensibles, et collectifs (participatifs), déclinent un objet lyrique où la performance de la fluidité de l’écriture, diverse, rend compte, paradoxalement de l’état d’objet du dispositif proposé, de la complexité vivante toujours à l’acte de ceux qui survivent à leur ami ou partenaire par les œuvres, parlant de leur vie partagée, en aparté ou intégrée, ou non partagée sinon un moment d’enregistrement, ou encore distanciée...

Personne d’autre n’aurait pu le faire sinon doué de la singularité poétique de Laurent M. ; j’aurais du dire bizarrement la profondeur centrée — s’agissant aussi d’une particularité ouverte de l’intimisme en création, — comme chez chacun de ceux qui se sont présentés à son appel pour honorer cet ouvrage, et pas des moindres dans ce qu’ils font...

J’ai connu les débuts de ce site quand Laurent l’avait entrepris délibérément seul, se lançant courageusement dans un ouvrage à long terme d’autant plus conséquent qu’il supposait l’attente des réponses de gens dont il avait perdu les traces, ou parfois même d’amateurs et de collectionneurs, amis de Pascal Galy, qu’il n’avait jamais connus ou rencontrés auparavant. Le site est maintenant d’une grande richesse et fait apparaître une micro-société de créateurs avec ou autour de Décidé Marcel.

J’espère que le travail de Laurent, son site organique d’une calme et inquiétante beauté, sa stratégie conceptuelle sans recourir aux tendances de la sophistication numérique, vous permettront d’accorder toute votre attention à la richesse du monde ordinaire de l’artiste "auto-biographé" par l’instruction de son réseau, et que l’installation de Massénat accroît sans limite à travers nous :

Décidé Marcel

(A. G. C.)


* Si le tweet qui apparaît dans la fenêtre d’envoi est trop long, (le nombre de signes en excès apparaissant dessous, précédé de : "-") le raccourcir avant de l’envoyer, en prenant soin de ne pas supprimer le lien même de l’article.

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http://decidemarcel.free.fr/

EXTRAITS
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Décidé Marcel est le nom d’artiste de Pascal Galy décédé d’avoir été un z’héros positif, comme il le disait lui-même, à l’âge de 35 ans, le lundi 12 juillet 1993 à 13h50, Hôpital de la Salpêtrière, Paris. Se sachant malade, il avait commencé à faire publier textes et montages sous son identité civile.

Ceux qui l’on connu ne peuvent que constater l’absence presque totale de traces de son existence et de son œuvre sur Internet. Ce qui est indigne de l’artiste et du poète que nous avons connu.

1993, Internet était alors naissant. Et il est très probable que si Décidé Marcel avait connu ce média il s’en serait emparé avec une gourmandise et un succès quasi certain.
La nature de son travail, d’une matérialité très fragile, en particulier en ce qui concerne ses images faites de minutieux et fins collages issus de matériaux à priori sans valeur intrinsèque, qu’il préservait et reproduisait en les photocopiant en couleur, se serait fort bien accommodée d’être numérisée et publiée sur le net. C’est ce qu’il est possible d’imaginer d’une œuvre faite de textes dactylographiés, de collages, de montages, de photographies et de films.
Aussi il nous faut rendre hommage à notre ami à sa mémoire, à celle de sa famille, mais encore à son œuvre telle qu’elle aurait pu exister conformément à ce que nous avons connu d’elle, mais aussi aux formes inimaginables par lesquelles elle se serait développée s’il avait connu et parions-le aimé Internet.

Il à vécu selon ses exigences et ses impossibilités dans un grand dénuement matériel. Il logeait dans une petite chambre, (15, rue Brochant - 75017 Paris, au 7e étage, accessible par l’escalier de service) de guère plus de 9 m2.
Affecté aux poumons, l’ascension lui était devenue impraticable. Une voisine compatissante le laissait passer par chez elle en empruntant l’ascenseur.
Quelques semaines avant sa disparition, très affecté par la maladie, il se réjouissait d’avoir obtenu des services sociaux, la promesse d’un logement calme, au rez-de-chaussée, au bout sur la droite d’une allée paisible de son quartier où il projetait une douce convalescence lors de laquelle, pour conjurer le sort, il prévoyait maints travaux.

Les derniers travaux de Pascal étaient marqués par la conscience de sa fin proche. Emprunts d’une radicalité sans concession, comme toujours, mais aussi d’une clairvoyance désabusée sur la vie,

« y a qu’un seul amour c’est pour personne. »

Nous avons aussi connu Décidé ; une énergie débridée à mêler les signes incongrus de nos quotidiens, mettant en lumière leurs sens implicites, leurs inquiètes tensions existentielles et la cocasserie irrésistible de la vie, avec joies.

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[ Ndlr : Ou encore, sachez que lorsque Laurent dit humblement "nous" , s’agissant de présenter les choix éditoriaux, de lancer les appels, ou de la composition de l’ensemble : c’est de lui seul qu’il s’agit ] :

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Afin de permettre la publication de l’œuvre fragile de Décidé Marcel, nous proposons à toutes les personnes qui l’on connu et qui sont en possession de traces de son travail, d’en témoigner en procédant à leurs mise en ligne.

En accumulant dans l’ordre de leur réapparition les divers éléments, images, textes, films et autres matérialisations numérisées, nous pourrons les rendre publics selon une manière qu’il affectionnait particulièrement, celle d’un montage idéal.

(“patterns, battements d’ailes de papillons, succession d’images, mots, mouvements, affects, pensées… selon l’ordre de leur manifestation fortuite, montage naturel, factuel, sans retouche.”)

Par la mise en partage de nos mémoires selon ce mode contributif, il nous sera possible de découvrir les aspects que nous ne connaissions pas des productions de notre ami. Et, ce qui n’est pas négligeable, nous permettrons aussi aux jeunes générations de rencontrer son œuvre singulière.

Il est souhaitable que cet archivage puisse se faire de la façon la plus naturelle qui soit.

C’est pourquoi nous avons choisi la forme d’un blog à cette adresse, notamment en ce qui concerne la publication de ses textes :

http://decidemarcel.blogspot.com/

La seule activité d’administration étant celle de modération, c’est à dire sans influer sur l’ordre de réapparition des archives, mais en veillant au respect de sa mémoire d’homme.

D’autres formes d’internet seront utilisées, (j’ai l’intime conviction que Décidé aurait dévoré toute les formes de notre média favori) afin de promouvoir sa mémoire et son œuvre : Blog, sites sociaux, Wikipédia etc.

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Le point actuel :

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Rassemblement des Œuvres Œuvres déjà localisées Droits réservés sur les oeuvres Creative Commons License voir Testament

Recherchons de Décidé Marcel :

- Photographies (de/par D. M.)
- Films
- Textes : poèmes, courrier, notes. (numérisés, saisis, bruts)
- Enregistrements magnétiques (ex : répondeur :
« Au téléphone, c’est merveilleux, de fredonner, un air à deux… All alone. »)
- 45 tours (numérisation du « Destin à Tintin »)
- Numérisations d’œuvres plastiques, collages etc.

Pour mémoire (non exhaustive) :
JOSY CROIRE(s) :
Tableaux portatif, images composées et unifiées en photocopie couleur, protégée sous plastique transparent, présentant en son verso une agraffe et la mention Josy Croire.

Lozanges :
Collages de petites images en papier, soit sur supports autonomes, soit rassemblés sur un même support destinés à être présentés en groupes ayant la forme générale de lozanges. (Exposés en 92/93 dans une galerie en Suisse)

Papiers-collés : collages

Yoyo : roman photo

Pamphlet et Album de Coloriage : fanzines, collages photocopiés en n&b, avec textes, coloriés.
(plusieurs versions)

Tape-tableau : vidéo

Portraits : vidéo (par Lionel Soukaz)

les Néréïdes : film court (par David Ferré)

la Star et Contrat-dictions : vidéo (par Olivier Pascal)

Autoportraits (hôpital Claude-Bernard) photographies :
(négatifs 6x6 en possession probable de P. Baès qui a prêté l’appareil photo)

Textes de chansons :

- J’suis une star pop’pauvre
- Destin, couille Tintin
- Hopi hopi hôpital, C’est fa c’est fa c’est fatal
- Amour voiture, pourvu qu’ça dure

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Œuvres déjà localisées

Laurent Massénat Graphiste, Paris mansea.free.fr

Textes : Esprit (recopié du vivant de D. M.) Laissez-moi braire (dédicacé à L. Massénat)

Fanzine : Pamphlet et Album de Coloriage (dédicacé à L. Massénat)

[...] (voir en ligne la suite par auteurs et leurs contributions ou apports d’œuvres de Galy, qui est trop longue pour être incluse ici)...

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Contributeurs à ce jour :

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Laurent Massénat Annie Vacelet Éric Porte (Riki Sud) Nancy Mongaï Lionel Soukaz Pierre Mréjen Pascal Baès René Licata

[...]

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[...]

Creative Commons License Les créations de ce site sont sous Creative Commons http://creativecommons.org/licenses...

Droits réservés sur les oeuvres voir Testament :

http://decidemarcel.free.fr/apropos... le 17 mai 1993 Pascal Galy dit Décidé Marcel 15 r Brochant 75017 Paris

Creative Commons License Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.0 France (CC BY-NC-ND 2.0)

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Citation sonore de rushes du film de Annie Vacelet-Vuitton (1990) :

MP3 - 25.2 Mo

Décidé Marcel chante dans le 19e, rush sonore, mp3 (18’22") ; extrait du site Décidé Marcel (CC).

Page de la source : http://decidemarcel.free.fr/p6_chan...


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contact laurentmassenat@gmail.com | decidemarcel@gmail.com

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Liens trouvés :

éditions du Rouleau libre Pascal Galy http://www.hors-normes.com/index.ph...

‘Sous-France de n’a qu’un œil’ http://www.lesperipheriques.org/art...

revue Chimères n°18 & 22 http://www.revue-chimeres.fr/chimer...

calendrier d’Élisa Point http://www.friendship-first.com/759...


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http://decidemarcel.free.fr/

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LAURENT MASSÉNAT in Criticalsecret

Parmi toutes ses prestations artistiques graphiques et musicales ici ou là, Laurent Massénat a honoré www.criticalsecret.com de ses contributions soit personnelles, comme le montage vidéo PAUSE, net art d’après des captures de webcam, dans l’opus 5 "cybermonstres"...
http://www.criticalsecret.com/n5/ma... http://www.criticalsecret.com/n5/

... soit en tant que détenteur du fonds photographique Berthe Smolders, dont il a fait une intervention éditoriale avec une sélection pour l’interface en Flash de Jérôme Cordiez, dans l’opus 6 "Cinématographies" :
http://www.criticalsecret.com/n6/in... http://www.criticalsecret.com/n6/

Il a un site personnel qu’il a commencé à réinstaller en Free, mais resté inachevé comme il manquait de temps, alors qu’il contribuait pour Christophe Huysman, (Le monde HYC, Le laboratoire mobile, et l’association Les hommes penchés), dont il a réalisé les sites successifs et voici l’actuel :
http://www.leshommespenches.com/

Son site personnel en attente d’actualisation graphique et des sources reste une œuvre poétique en l’état, et toujours accessible en ligne :

http://mansea.free.fr/ http://laurent.massenat.free.fr/


P.-S.

Le logo fait partie de la série des photomatons de 1987 regroupant Pascal Galy (ici au centre) avec trois de ses amis, parmi lesquels Laurent Massénat (au premier plan à gauche), qui rythme les sommets des pages du site dédié.
Page source de cette icône : http://decidemarcel.free.fr/p2_josy.htm

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Pour mémoire :

« Remerciement : Laurent Massénat, grand amateur de musique et de Jean-Sébastien Bach, artiste contemporain, graphiste, poète et inter-acteur du Web, pour la localisation spécifique des canons (et des contrepoints), chez Jacno :
http://strangepaths.com/canon-1-a-2... »
(extrait de Mort de Jacno / Non mort de Jacno)
http://www.larevuedesressources.org...

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Voici une vidéo réalisée par Laurent Massénat lors d’un concert de Gustav Leonhardt à Paris :

Uploaded by laurentmansea on Jun 25, 2009 — son commentaire :

« Vu et écouté Gustav Leonhardt, 80 ans, à l’orgue de choeur baroque de l’église Saint Aignan de Grand Lieu, depuis la chaire. Mercredi 17 juin 2009 21h-22h, enregistré avec un FinePix F30 par Laurent Massénat. probablement la Canzona 4 de Johann Kaspar Kerll (1627-1693).
Le maître se trouve en bute à un problème des jeux de l’orgue baroque dont une note reste bloquée, il s’en tire encore avec un flegme exemplaire. »



Sa page sur Youtube présente des citations choisies et des implémentations personnelles :
laurentmansea.

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Laurent Massénat a également publié des textes dans différentes revues ou magazines, ou ouvrages d’art en participation collective, par exemple dans l’ouvrage pour Richard Baquié, Nulle part est un endroit :


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Richard Baquié
Nulle part est un endroit
Publication de l’École Nationale Supérieure des Beaux Arts (Paris), 1996. 12 cartes avec livret. Textes : Alfred Pacquement, Valérie Huygue, Laurent Massénat, Arnaud Vasseux, Gabriele Sparwasser,Jean Andersen, Jean-François Boclé. Prix : 20 €

Source : http://pplibrairie.over-blog.com/article-4485829.html.

Il s’agit du frontispice des textes dédiés à une sculpture de Richard Baquié publié au moment de la disparition de ce grand artiste, en 1996, et dont le titre a également inspiré en 2010 une exposition éponyme, en hommage, mais ne requérant pas les œuvres de Richard Baquié, sinon abstraitement cette citation du titre, dûment référencée, par le Centre Photographique d’Ile de France à Pontault-Combault, sous le commissariat de Pascal Beausse.

Pascal Beausse : [...] « Nulle part est un endroit », c’est le titre en forme d’oxymore poétique d’une sculpture de Richard Baquié (1952-1996), faite de métal, de photo et de verre, et datée de 1989. Énoncer avec lui que « nulle part est un endroit », c’est affirmer que l’utopie doit aujourd’hui se trouver dans la réalité, y être voulue et construite collectivement.

Source : http://mutualise.artishoc.com/cpif/...


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